Bonne visite du blog

Il m'arrive de publier plusieurs articles dans la même journée et d'être "bavarde" ou généreuse (tout dépend comment vous voyez cela), donc n'hésitez pas à parcourir mes publications. J'essaie de penser un peu à tout le monde grands et petits, car ceci est un blog où je peux parler de TOUT, je ne suis pas limitée à la politique !



dimanche 26 octobre 2014

Droits de l'homme et allocations ? quel rapport ?

On a voté, il me semble de donner des allocations en fonction des revenus des parents, du foyer... bon, est-ce juste ou pas juste ? 

Les Allocations familiales sont elles destiné à l'enfant, donc pour les enfants, droit des enfants ou droit des parents ? 

Dans ce cas il faudrait lire la partie numéro 2, que tous les enfants jouissent de la même protection sociale en France. 

Enfants de pauvres ou enfants de riches ? faut-il faire une différence de plus entre les deux ? accentuer les différences ? 

Article 25

1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.




Qu'est-ce qui est plus juste "même montant" ou "même taux" ? 

C'est à ce niveau qu'il faut réfléchir à l'égalité et savoir ce qu'il faut envisager. 

un peuple a mis en commun de l'argent pour l'éducation commune et même si les parents ont le droit d'éduquer leurs enfants, l'état a aussi des devoirs en matière éducation des enfants et je pense qu'il y a une raison pourquoi l'allocation de rentrée scolaire a été créée en plus des allocations ordinaires, pour aider les familles, plutôt les enfants de ces  familles, donc argent destiné aux enfants et pas aux parents (les assistantes sociales le rappellent et veillent en général que cela soit utilisé pour la rentrée) donc en baissant tout en fonction des revenus des foyers, notamment les allocations "ordinaires",  on prive les enfants et pas les parents, on remet en question le droit de ces enfants accordé au fil des années 

http://www.un.org/fr/documents/udhr/

Article 26

1. Toute personne a droit à l'éducation. L'éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l'enseignement élémentaire et fondamental. L'enseignement élémentaire est obligatoire. L'enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l'accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
2. L'éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l'amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d'éducation à donner à leurs enfants.


Je voudrais simplement qu'on réfléchisse à ce mot "égalité" et "justice", qu'on ne prive pas ceux qui cotisent à la CAF de leurs droits sociaux et notamment pas les enfants, qui sont dépendant des ressources de leurs parents désormais encore un peu plus.  


Besoin de repos en ce moment...

la santé l'exige, je suis épuisé avec toutes ces démarches, mon parcours d'insertion, le déménagement en vue, etc. 

Bon dimanche à tous. 



je regarde des documentaires, ARTE sur par exemple ici Martin Luther, vieux documentaire, en allemand




VOICI en anglais français sur ARTE, pas tout à fait pareil, quelques passages identiques et traduits







Ou ci-dessous, l'histoire des Allemands, documentaire allemand chaine ZDF






Le passé permet de mieux comprendre le présent et de penser à l'avenir en évitant de recommencer les mêmes erreurs, enfin, je l'espère.



(NB: j'ai quelques problèmes techniques qui changent parfois la casse en majuscules sans que je sache pourquoi, merci pour votre compréhension s'il y a des erreurs au niveau de l'othographe)

samedi 25 octobre 2014

Pré-Etat des lieux chez moi pour préparer la suite du parcours...

Pré-état des lieux non-contractuel, juste informel afin d'éviter les mauvaises surprises et pour savoir exactement ce qu'il faut faire avant de partir et faire le "vrai" état des lieux. 

On a donc fait le tour du logement, examiné pièce par pièce ce qu'il y a à faire et chiffré ce que cela coûterait en cas de départ et ce qu'on peut faire par nous-mêmes, ce qui reviendrait à la charge du bailleur et à la charge du locataire. 

Un simple butoir derrière une porte par exemple se chiffre déjà à 11 Euros avec la pose, une manivelle pour un volet de même, entre 10 et 11 Euros (je n'ai pas retenu les centimes en mémoire).

Du papier peint, à condition de retrouver le même, car n'ayant pas fait le papier peint nous-mêmes, nous n'avons pas de rouleau en réserve, on était rentré dans un appartement neuf et le papier n'a jamais été changé, c'est de la vétusté aussi. Cela fait 11 ans. 


Bon, en tout cas il y aurait pour presque 1200 Euros de frais sur l'appartement et à nous de tout faire pour baisser cela, que je sois handicapée, malade ou pas, que j'ai l'argent pour faire faire les travaux ou pas... sinon on comptera tout cela à mes frais en sortant. 

Le FSH risque de ne pas être augmenté pour autant, je pense qu'ils l'ont demandé trop tôt. Ils auraient probablement pu inclure ces frais liés au départ du logement dans le FSH. 

Donc d'autres soucis en vue et je ne sais pas encore faire face, je dois me reposer afin de récupérer et de pouvoir réfléchir aux démarches à faire, je suis épuisé par le travail qu'on avait à faire cette semaine pour préparer les cartons et le tri et le pré-état des lieux et il y a encore bien du travail qui nous attend dans les semaines à venir avant qu'on fasse un véritable déménagement. 

sous réserve que l'on passe enfin mon dossier en commission !

car c'est bien là le problème. 

Je dois donner le nouveau bail avant le 7 novembre et ils ont du retard à l'agence par rapport à cela, que ce soit l'appartement ou le dossier en lui-même. 

Même s'ils passent le tout la semaine prochaine, on n'aura plus 15 jours pour donner le bail, car le 7 novembre c'est dans moins de deux semaines maintenant et j'ai peur qu'ils aient fait tout rater. 

En espérant qu'on trouvera une solution aux problèmes...bon weekend à tous. 

jeudi 23 octobre 2014

Le bon côté du parcours du combattant en insertion...

c'est qu'on fait connaissance avec d'autres personnes sympathiques qui galèrent aussi, et qu'on peut partager ses soucis ou aussi les oublier en passant un bon moment ensemble, même en dehors des associations.

Mercredi on s'était retrouvé à plusieurs entre "anciens stagiaires en insertion" et on a fait "un break" dans nos soucis ne serait-ce qu'une journée autour d'un repas fait maison et après-midi de jeux, en l'occurrence ici c'était le " boggle", jeu de lettres (parfois c'était un baccalauréat ou autre jeu qui stimule les neurones)

Cela permet d'évacuer le stress, refaire le plein de bons souvenirs et de "positiver" comme on dit, recharger un peu les batteries pour affronter la suite de nos difficultés à surmonter.

Je ne publierai pas de photos pour respecter le droit à l'image de ceux qui ne veulent pas être publiés, sujet délicat à chaque fois même à l'association.

Mais cela fait du bien et c'est un peu la suite quand les stages s'arrêtent officiellement pour les uns ou les autres, on peut garder le contact et continuer à se voir, à faire des projets ensemble suivant les disponibilités des uns et des autres et ça fait plaisir de se revoir comme mercredi.

Il fallait quand-même marcher pour y arriver, c'était à la campagne et pas en ville, donc pas de bus à proximité jusque devant la maison et des courbatures le lendemain, mais je suis heureuse d'avoir pu faire ce break pour le moral.


NB : Mercredi, anciennement jour de repos pour les enfants, les mamans  et jour de récréation et de jeux


lundi 13 octobre 2014

Parcours du combattant suite (vers la solution ?)

J'ai reçu un accord (promesse) pour le FSH si je donne le nouveau bail avant le 7 novembre, donc là je dois me préparer au déménagement. *

Cela ne prend pas  tout en charge, vu que la demande a été fait par le bailleur avant le déménagement et il manquera au moins un mois de loyer qui ne sera pas compris dans l'effacement des dettes, ni l'ouverture des compteurs etc ce qu'il faut envisager aussi quand on déménage, la caution etc. 

Le bailleur a été trop pressé de récupérer l'argent, mais il ne l'aura pas avant la signature du bail non plus, il faut que le déménagement se fasse, donc encore de l'attente, il faut que le logement soit officiellement attribué et le bail signé. 

Quant à mes soucis de GDF, le médiateur n'a pas donné "signe de vie", aucune réponse ni pour la CLCV ni pour moi et GDF n'a pas relancé, donc cela fait plus de deux mois sans réponse et l'incertitude malgré tout. 

Le système est lent de ce côté. 

Et je dois encore me renseigner au sujet de la taxe d'habitation pour quelqu'un au RSA socle, vu que je n'ai plus de revenus personnels ni de pension alimentaire depuis le départ de ma fille en décembre 2013, le RSA est une aide pour survivre.

Je suis arrivée au RSA qui vient d'atteindre 448 Euros par mois, mais qui est malgré tout encore en-dessous du seuil de pauvreté. Je trouve donc inquiétant qu'on réclame des impôts et taxes aux pauvres. La redevance télé surtout, 133 Euros. Cela fait beaucoup je trouve, une redevance due à partir du moment où on doit payer une taxe d'habitation dont on ne peut pas se faire dégrever aussi facilement désormais, vu qu'en haut (gouvernement) on insiste pour qu'elle soit payée quitte à accorder des facilités de paiement, ce qui voudrait dire encore une fois, mensualisation, alors qu'avec les problèmes de banques que j'ai eu et que d'autres ont c'est impossible à mettre en place sans se retrouver dans la spirale infernale vers le surendettement. 

Qu'on redonne de l'espoir en bas de l'échelle sociale pour que les pauvres puissent réussir leur insertion sociale et professionnelle par la suite aussi, car tant qu'on vit mal dans sa situation, impossible d'être efficace pour un employeur de plus, de s'occuper correctement de sa santé, etc. malgré la CMU, où tout est calculé au rabais (génériques, transport etc ) tout en prétendant qu'on est privilégié à cause du tiers payant et la prise en charge à 100% de ce qui est accordé par la Sécurité Sociale seulement, pas ce qui a été dé-remboursé ou ce qui n'est plus pris en charge pour personne. 

article 25 des droits de l'homme... niveau de vie suffisant, on est en 2014 et pas de centaines d'années en arrière, même si certains rêvent de vivre sans électricité (devenue trop chère.... malgré le tarif social, gaz, chauffage etc... transition énergétique oblige, l'écologie etc et on polluera certainement plus si on n'a plus droit à l'eau dans les toilettes) On ne trouve rien de mieux que de tout taxer à outrance, alors que les gestes d'économies sont avant tout de l'éducation, un état d'esprit et de respect et pas une question d'impôts et taxes. 


http://www.un.org/fr/documents/udhr/

Article 25

1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.
2. La maternité et l'enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales. Tous les enfants, qu'ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Pour ma part je fais l'effort de prendre un logement moins cher même s'il n'est pas parfaitement adapté à ma santé (beaucoup de marches pour un faux rez de chaussée) et certaines fenêtres difficilement accessibles, mais lavabo et WC accessibles, donc j'ai fait ce compromis de l'accepter pour ne pas me retrouver à la rue et pour sortir de mes problèmes d'argent, alors que le problème de l'accessibilité au logement devrait être le travail des élus et faire partie de la politique locale. Il me semble qu'il y a eu des manifestations en France pour que les bailleurs règlent également le problème d'accessibilité des logements anciens pour personnes ayant des problèmes de santé ou en situation de handicap. Il y a des handicaps qui ne sont pas visibles de l'extérieur et des logements pas adaptés à tous.
Mon objectif est de trouver un niveau de vie suffisant malgré tout, d'avoir un loyer qui rentre dans mon budget et de frais de chauffage et autres charges supportables, afin qu'il reste de quoi vivre. Les assurances pour un F2 seront peut-être moins chères aussi et de toute façon l'état se fiche de savoir si on a des sentiments, souvenirs etc quelque part ou pas, il faut que tout rentre dans le BUDGET, le mot qui compte le plus aux yeux de tous de nos jours et qui préoccupe tout le monde, BUDGET DE L ETAT surtout, et les citoyens ?




N.B.  du 13.10.2014

* je reviens de l'Agence du bailleur pour confirmer le rendez-vous du pré-état des lieux sortant et j'ai transmis une copie de mon courrier du conseil général, précisant qu'il faut donner le  nouveau bail avant le 7 novembre 2014 et on m'a dit que le logement n'était pas disponible, qu'il y a des travaux à faire et que demain n'était pas prévu de faire passer ce logement en commission pour moi, donc cela repousserait tout et la dette augmente, de quoi désespérer de leur "incompétence" en la matière ... mais pourquoi pas avoir commencé par faire les travaux dès que j'ai accepté ? Ils savent que c'est urgent et ils traînent et à moi de payer les "pots cassés" ? de subir les conséquences de tout ça ?

Déprimant !

NB du 16.10.2014

Toujours pas de réponse et l'agence du bailleur fermée exceptionnellement aujourd'hui.

Je n'avance pas vraiment dans mes démarches cette semaine, juste des attestations que j'ai pu imprimer à la borne de la mairie.

Je fais du tri pour me préparer à un déménagement, au cas où, c'est tout ce que je peux faire pour l'instant, dans l'incertitude.

jeudi 9 octobre 2014

Parcours du combattant suite...

On m'a fixé rendez-vous pour faire un pré-état des lieux, et je devrais sauter de joie de ne pas me retrouver à la rue parce qu'on compte m'attribuer un autre logement. Je ne connais pas la date de mon déménagement et je n'ai signé aucun bail pour l'instant, mais on m'a fixé une date pour pré-état des lieux, ce mois-ci. 

Ma réaction n'est pas ce qu'on pourrait attendre, j'ai l'impression que le ciel me tombe sur la tête, qu'une montagne de soucis se rajoute, que je n'arriverai jamais à "tout faire", à déménager tout court. 

Je suis déprimée aujourd'hui, fatiguée, lasse des problèmes. J'ai besoin de repos et j'ai envie de pleurer. 

L'appartement que j'ai accepté est un compromis, car les escaliers resteront un obstacle à surmonter au quotidien. Je veux juste sortir de mes soucis d'argent, mes dettes de loyer etc. et j'en veux à ce monde où l'argent dicte tout !

Et je ne sais pas comment m'y prendre quand j'ai l'impression de ne plus avoir de forces pour tout faire seule. 

Je prend de l'âge en plus de ma santé, je ne peux plus porter aussi lourd, et où trouver l'aide, la disponibilité ne serait-ce que dans la famille ? 

Et changer de cadre de vie quand on n'a pas trop le choix est toujours angoissant, car au fond ce n'est pas un choix qu'on fait pour soi parce qu'on en a envie, mais parce qu'on n'en a pas le choix, ce n'est pas pareil. 

Espérons que tout finira par s'arranger. J'ai eu ma dose de galères dans la vie et un peu marre de ces galères et épreuves et j'aimerais enfin dire "la vie est belle". 

Pas de nouvelles du médiateur de l'énergie et pas de nouvelles si effectivement il y a une commission d'attribution la semaine prochaine, vu que c'est le deuxième mardi du mois qu'on fait ça, pas de nouvelles des services sociaux pour savoir où en est mon dossier et si on règle effectivement mes dettes de loyer ou pas le moment venu, je voudrais être sûr qu'on tienne les promesses qu'on m'a faites oralement. 

Je stresse, je fatigue, je déprime... voilà  je me vois avec "une montagne de soucis" devant moi, des problèmes à régler et surtout sans en avoir le budget non plus, car voyez-vous qui payera un camion pour déménager ? qui portera les cartons si dans la famille on n'arrive pas à dégager du temps ? comment faire concrètement ? c'est physique et psychologiquement un grand stress aussi 

Il n'y a pas de service dans la commune pour aider, il me semble, et je ne suis pas assez âgée pour faire partie d'un comité de personnes âgées (conseil des Anciens) pour en faire la proposition officiellement, de mettre à disposition de ceux qui sont dans le besoin l'aide pour faire le déménagement. 

C'est une galère pour les pauvres et les personnes âgées aussi d'organiser un déménagement sans forces, sans "bras" pour faire les cartons, les porter et sans les moyens de transport, pas d'argent pour louer une camionnette par exemple... ou il faut encore voir si une association veuille bien prêter un véhicule ou louer et cela complique la vie. Et faire confiance  à des inconnus n'est pas toujours facile de nos jours. 

Plus on prend de l'âge, moins on a envie de quitter des lieux où on a ses habitudes et ses souvenirs, et il va falloir que j'arrive à faire le deuil de tout ça et à trouver de l'énergie toute seule. 

Je n'aime pas être un poids pour les autres et c'est surtout cela qui m'angoisse pour l'avenir, on m'a souvent fait comprendre que j'étais un poids pour la société, un poids pour la famille, pour les autres et rarement pris en compte ce que j'ai pu faire pour autrui dans ma vie de façon tout à fait bénévole et inaperçue. 

Je suis peut-être proche de la solution pour les dettes, mais pas l'idéal d'aller dans un endroit qui n'est qu'un compromis, de se dire "tu n'as pas le choix" , tu es pauvre et le resteras, tu n'a pas le choix dans ta vie,  de vivre comme tu le désires. 

Mon horoscope me dit de vivre dans le présent, carpe diem, mais bon je dirais ce n'est pas gagné de passer la journée dans la joie et la bonne humeur, car il va falloir que j'évacue d'abord tous ces soucis qui m'obsèdent. 

C'est mon "côté cas social" qui remonte là... vous voyez, à force d'avoir toujours à se battre on peut se fragiliser et pas toujours se renforcer l'esprit, voir parfois la vie en noir et pas en rose. L'obésité est aussi une carapace et le poids du chagrin de ma vie, "une armure" en apparence, car cela ne protège de rien au fond.  

La véritable protection vient de l'intérieur, m'a dit quelqu'un un jour, il s'agit donc de  trouver les forces dans son esprit, sa psychologie, de trouver un moyen de se ressourcer, de s'endurcir contre les aléas de la vie, mais pour l'instant je n'y arrive pas, je passe bien des nuits blanches à cause de mes soucis. 

On m'a dit "il faut répéter tous les jours que tout va bien et que la solution EST arrivée" pour que cela se réalise dans la vie et pas en douter. Je vais essayer de ne pas perdre espoir et je continue mes prières quotidiennes. 



mercredi 8 octobre 2014

A propos de GPA... les droits de l'homme... ?

je rappelle GPA= gestation pour autrui et selon les droits de l'homme a-t-on le droit de le faire ou d'autoriser la GPA ?

http://www.un.org/fr/documents/udhr/

"Article premier

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité."

On naît libre avant tout, donc le droit des enfants à leur dignité humaine est garantie par la loi et fabriquer un enfant moyennant argent, n'est pas être libre 
On n'est pas propriété de qui que ce soit et on ne peut être vendu. 
Commerce de vies humaines interdite (on n'est pas des animaux qu'on vend, ni esclave). 
Abandon programmé par la mère, s'il s'agit de procréation pour autrui, donc l'enfant naîtra sans mère et n'aura jamais de mère si c'est un couple d'hommes qui l'adopte ou sans père si c'est un couple de femmes qui l'adopte. 
Dans un cas de couple hétérosexuel stérile qui adopte, c'est également un abandon programmé avec la GPA (gestation pour autrui) 

L'abandon de plus programmé me paraît lourd à porter pour un enfant quand ils sera devenu adulte, dépressions en vue, pas d'arbre généalogique non plus... "j'ai été créé à partir de... " "suis-je enfant de l'amour ? " "je ne suis pas comme les autres" et "c'est la faute de ceux qui m'ont fabriqué"
Faut-il baser la société sur la GPA ? 
Je pense comme on dit dans les droits de l'homme que l'être humain a des droits naturels et que la famille est la base de la société et qu'il faut prévenir les dérapages. 

les droits de l'enfant sont ici :
http://www.humanium.org/fr/convention/
je cite ce qu'on peut lire sur ce site, un extrait ci-dessous et on peut lire à l'article 3 que l'intérêt de l'enfant prime, programmer l'abandon est-ce dans son intérêt ? par exemple. Choisir sa couleur de peau est-ce dans son intérêt ? la protection de l'enfant commence avant la naissance, il y a le suivi pré-natal etc. mis en place

La Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (1989)

Texte intégral

Préambule

Les États parties à la présente Convention,
considérant que, conformément aux principes proclamés dans la Charte des Nations Unies, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine ainsi que l’égalité et le caractère inaliénable de leurs droits sont le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde;
ayant à l’esprit le fait que les peuples des Nations Unies ont, dans la Charte, proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme et dans la dignité et la valeur de la personne humaine, et qu’ils ont résolu de favoriser le progrès social et d’instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande;
reconnaissant que les Nations Unies, dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans les pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme, ont proclamé et sont convenues que chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés qui y sont énoncés, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation;
rappelant que, dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, les Nations Unies ont proclamé que l’enfance a droit à une aide et à une assistance spéciales;
convaincus que la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l’assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté;
reconnaissant que l’enfant, pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité, doit grandir dans le milieu familial, dans un climat de bonheur, d’amour et de compréhension;
considérant qu’il importe de préparer pleinement l’enfant à avoir une vie individuelle dans la société, et de l’élever dans l’esprit des idéaux proclamés dans la Charte des Nations Unies, et en particulier dans un esprit de paix, de dignité, de tolérance, de liberté, d’égalité et de solidarité;
ayant à l’esprit que la nécessité d’accorder une protection spéciale à l’enfant a été énoncée dans la Déclaration de Genève de 1924 sur les droits de l’enfant et dans la Déclaration des droits de l’enfant adoptée par l’Assemblée générale le 20 novembre 1959, et qu’elle a été reconnue dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (en particulier aux articles 23 et 24), dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (en particulier à l’article 10) et dans les statuts et instruments pertinents des institutions spécialisées et des organisations internationales qui se préoccupent du bien-être de l’enfant;
ayant à l’esprit que, comme indiqué dans la Déclaration des droits de l’enfant, «l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance»;
rappelant les dispositions de la Déclaration sur les principes sociaux et juridiques applicables à la protection et au bien- être des enfants, envisagés surtout sous l’angle des pratiques en matière d’adoption et de placement familial sur les plans national et international, de l’Ensemble de règles minima des Nations Unies concernant l’administration de la justice pour mineurs (Règles de Beijing) et de la Déclaration sur la protection des femmes et des enfants en période d’urgence et de conflit armé;
reconnaissant qu’il y a dans tous les pays du monde des enfants qui vivent dans des conditions particulièrement difficiles, et qu’il est nécessaire d’accorder à ces enfants une attention particulière;
tenant dûment compte de l’importance des traditions et valeurs culturelles de chaque peuple dans la protection et le développement harmonieux de l’enfant;
reconnaissant l’importance de la coopération internationale pour l’amélioration des conditions de vie des enfants dans tous les pays, en particulier dans les pays en développement;
sont convenus de ce qui suit :

1. L’enfant est enregistré aussitôt sa naissance et a dès celle-ci le droit à un nom, le droit d’acquérir une nationalité et, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux.
2. Les Etats parties veillent à mettre ces droits en oeuvre conformément à leur législation nationale et aux obligations que leur imposent

La Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant (1989)

Texte intégral

Préambule

Les États parties à la présente Convention,
considérant que, conformément aux principes proclamés dans la Charte des Nations Unies, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine ainsi que l’égalité et le caractère inaliénable de leurs droits sont le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde;
ayant à l’esprit le fait que les peuples des Nations Unies ont, dans la Charte, proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme et dans la dignité et la valeur de la personne humaine, et qu’ils ont résolu de favoriser le progrès social et d’instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande;
reconnaissant que les Nations Unies, dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et dans les pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme, ont proclamé et sont convenues que chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés qui y sont énoncés, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation;
rappelant que, dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, les Nations Unies ont proclamé que l’enfance a droit à une aide et à une assistance spéciales;
convaincus que la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l’assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté;
reconnaissant que l’enfant, pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité, doit grandir dans le milieu familial, dans un climat de bonheur, d’amour et de compréhension;
considérant qu’il importe de préparer pleinement l’enfant à avoir une vie individuelle dans la société, et de l’élever dans l’esprit des idéaux proclamés dans la Charte des Nations Unies, et en particulier dans un esprit de paix, de dignité, de tolérance, de liberté, d’égalité et de solidarité;
ayant à l’esprit que la nécessité d’accorder une protection spéciale à l’enfant a été énoncée dans la Déclaration de Genève de 1924 sur les droits de l’enfant et dans la Déclaration des droits de l’enfant adoptée par l’Assemblée générale le 20 novembre 1959, et qu’elle a été reconnue dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (en particulier aux articles 23 et 24), dans le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (en particulier à l’article 10) et dans les statuts et instruments pertinents des institutions spécialisées et des organisations internationales qui se préoccupent du bien-être de l’enfant;
ayant à l’esprit que, comme indiqué dans la Déclaration des droits de l’enfant, «l’enfant, en raison de son manque de maturité physique et intellectuelle, a besoin d’une protection spéciale et de soins spéciaux, notamment d’une protection juridique appropriée, avant comme après la naissance»;
rappelant les dispositions de la Déclaration sur les principes sociaux et juridiques applicables à la protection et au bien- être des enfants, envisagés surtout sous l’angle des pratiques en matière d’adoption et de placement familial sur les plans national et international, de l’Ensemble de règles minima des Nations Unies concernant l’administration de la justice pour mineurs (Règles de Beijing) et de la Déclaration sur la protection des femmes et des enfants en période d’urgence et de conflit armé;
reconnaissant qu’il y a dans tous les pays du monde des enfants qui vivent dans des conditions particulièrement difficiles, et qu’il est nécessaire d’accorder à ces enfants une attention particulière;
tenant dûment compte de l’importance des traditions et valeurs culturelles de chaque peuple dans la protection et le développement harmonieux de l’enfant;
reconnaissant l’importance de la coopération internationale pour l’amélioration des conditions de vie des enfants dans tous les pays, en particulier dans les pays en développement;
sont convenus de ce qui suit :

Première partie

Article premier

Au sens de la présente Convention, un enfant s’entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable.

Article 2

1. Les Etats parties s’engagent à respecter les droits qui sont énoncés dans la présente Convention et à les garantir à tout enfant relevant de leur juridiction, sans distinction aucune, indépendamment de toute considération de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou autre de l’enfant ou de ses parents ou représentants légaux, de leur origine nationale, ethnique ou sociale, de leur situation de fortune, de leur incapacité, de leur naissance ou de toute autre situation.
2. Les Etats parties prennent toutes les mesures appropriées pour que l’enfant soit effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique, les activités, les opinions déclarées ou les convictions de ses parents, de ses représentants légaux ou des membres de sa famille.

Article 3

1. Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu’elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale.
2. Les Etats parties s’engagent à assurer à l’enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être, compte tenu des droits et des devoirs de ses parents, de ses tuteurs ou des autres personnes légalement responsables de lui, et ils prennent à cette fin toutes les mesures législatives et administratives appropriées.
.... (à lire sur le site, les autres articles, je choisis de citer ceux ci-dessous, l'intérêt de l'enfant est primordial, on ne parle pas de l'intérêt des parents, mais de devoir des parents envers l'enfant et de devoir de l'état garant des droits de l'enfant, pas confondre les deux et l'enfant doit connaître ses parents et être élevé par eux dans la mesure du possible, donc cela exclut un abandon programmé de GPA)

Article 6

1. Les Etats parties reconnaissent que tout enfant a un droit inhérent à la vie.
2. Les Etats parties assurent dans toute la mesure possible la survie et le développement de l’enfant.

Article 7

 les instruments internationaux applicables en la matière, en particulier dans les cas où faute de cela l’enfant se trouverait apatride.

Voilà ce que j'en pense :
Nous avons la chance que de moins en moins d'enfants soient abandonnés par leur vrais parents même si certains sont placés sous tutelle de l'état, alors pourquoi programmerait-on un abandon en vue d'une adoption parce que certains ont envie d'avoir un enfant "à tout prix" ? 
Je fais une différence entre FIV (fécondation in vitro pour aider les couples, vrais parents de l'enfant et la GPA)

Simple principe : tous les êtres humains naissent libres et égaux en droit, leur vie ne peut être vendue. Leurs droits doivent être respectés et l'abandon ne peut être programmé légalement. Quand on retire le droit parental à quelqu'un il faut de "bonnes" raisons qui nuiraient à l'enfant. Est-ce que ce sont de bonnes raison de recourir à la GPA dans l'intérêt de l'enfant ? créer un abandon programmé ? c'est l'intérêt des adultes, mais pas de l'enfant. 

Sur ce je vous souhaite "bonne réflexion", j'avais besoin de dire ce que j'en pense, même si je pense que d'autres avanceront d'autres raisons en faveur de "l'amour que ces parents apporteront à l'enfant qu'ils ont "adopté" et "pas acheté" .... bref, à chacun sa façon de voir les choses, on vit dans un pays où on a la liberté de pensée et d'expression, en principe en tout cas.  

un problème pour quelqu'un durant toute sa vie, d'être "non désiré", donc quelque part "abandonné" dans son esprit par sa propre mère, l'acteur bien connu Gérard Depardieu ... une souffrance qui perdure

http://www.voici.fr/news-people/actu-people/gerard-depardieu-raconte-comment-sa-mere-a-voulu-le-supprimer-avant-sa-naissance-543446

samedi 4 octobre 2014

Avant de vouloir restructurer il faut parfois reprendre tout à la base...

Quel est le rôle de la commune, le rôle du maire en l'occurrence ? 

je cite ce site "vie publique" ci-dessous :

http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/collectivites-territoriales/democratie-locale/quelles-sont-fonctions-maire.html

"Dans les communes, l’État ne délègue pas de représentants dotés de compétences générales, comme les préfets dans les départements et les régions.
Le maire bénéficie d’une « double casquette » : il est à la fois agent de l’État et agent de la commune en tant que collectivité territoriale.
Le maire est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales.
– En tant qu’agent de l’État :
Sous l’autorité du préfet, le maire remplit des fonctions administratives dont notamment :
  • la publication des lois et règlements ;
  • l’organisation des élections ;
  • la légalisation des signatures.
Sous l’autorité du procureur de la République, il exerce des fonctions dans le domaine judiciaire : il est officier d’état civil et officier de police judiciaire.
– En tant qu’agent exécutif de la commune :
  • Le maire est chargé de l’exécution des décisions du conseil municipal et agit sous contrôle de ce dernier. Il représente la commune en justice, passe les marchés, signe des contrats, prépare le budget, gère le patrimoine communal.
  • Il exerce des compétences déléguées par le conseil municipal et doit alors lui rendre compte de ses actes. Les délégations portent sur des domaines très divers (affectation des propriétés communales, réalisation des emprunts, création de classes dans les écoles, action en justice...) et sont révocables à tout moment. La loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales autorise le maire à subdéléguer, à un adjoint ou un conseiller municipal, les attributions qui lui ont été confiées par délégation.
  • Le maire est titulaire de pouvoirs propres. En matière de police administrative, il est chargé de maintenir l’ordre public, défini dans le Code général des collectivités territoriales comme le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Il s’agit également de polices spéciales (baignade, circulation…).
Le maire est aussi le chef de l’administration communale. Il est le supérieur hiérarchique des agents de la commune et dispose d’un pouvoir d’organisation des services."


Ce n'est donc pas si simple de dire on remplace les communes et les maires par une Agglomération ayant des adjoints dans les communes... ce serait la fusion des communes qui provoquerait cela automatiquement, mais ce seraient toujours "la commune" par la suite et plus une communautés de communes. 
Des économies ou des charges en plus si on fusionne toutes les communes d'une agglo ? 

et le rôle du conseil municipal ? 
http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/collectivites-territoriales/democratie-locale/quel-est-role-du-conseil-municipal.html
"Le conseil municipal représente les habitants. Ses attributions sont très larges depuis la loi de 1884 qui le charge de régler "par ses délibérations les affaires de la commune". Cette compétence s’étend à de nombreux domaines. Le conseil municipal donne son avis toutes les fois qu’il est requis par les textes ou par le représentant de l’État.
Il émet des vœux sur tous les sujets d’intérêt local : il vote le budget, approuve le compte administratif (budget exécuté), il est compétent pour créer et supprimer des services publics municipaux, pour décider des travaux, pour gérer le patrimoine communal, pour accorder des aides favorisant le développement économique.
Le conseil exerce ses compétences en adoptant des "délibérations". Ce terme désigne ici les mesures votées. Il peut former des commissions disposant d’un pouvoir d’étude des dossiers.
Le conseil municipal doit se réunir au moins une fois par trimestre et l’ordre du jour, fixé par le maire, doit être communiqué avant le début de la séance. Celle-ci est ouverte au public sauf si l’assemblée décide le huis clos ou si le maire exerce son pouvoir de "police des séances", notamment en cas d’agitation, et restreint l’accès du public aux débats.
En cas de dysfonctionnement grave, le conseil municipal peut être dissous par décret en Conseil des ministres.
http://www.vie-publique.fr/th/glossaire/conseil-ministres.html
Donc la mairie dépend aussi du gouvernement et pas seulement de la collectivité locale, des habitants et de leur projets locaux. Il doit rendre des comptes au pays, la nation, le gouvernement. 


Le conseil départemental ( autrefois appelé conseil général)
http://www.vie-publique.fr/decouverte-institutions/institutions/collectivites-territoriales/democratie-locale/qu-est-ce-qu-conseil-general.html
"Avec la loi n° 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l’élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, l’assemblée qui dirige le département prend le nom de conseil départemental (en remplacement de la précédente appellation de conseil général).
– Au sens strict, le conseil départemental est l’assemblée délibérante du département en tant que collectivité territorialeformée par la réunion des conseillers départementaux (ex-conseillers généraux). Dans un sens plus général, ce terme a fini par désigner la collectivité elle-même.
Les conseillers départementaux sont élus pour six ans (les prochaines élections départementales auront lieu en 2015).
Depuis la loi de décentralisation de 1982, le conseil départemental « règle par ses délibérations les affaires du département », en particulier la création des services publics départementaux, la gestion des biens du département et son budget.
Il se réunit au moins une fois par trimestre, à l’initiative de son président, ou à la demande de la commission permanente (composée du président et de 4 à 15 vice-présidents) ou du tiers de ses membres, sur un ordre du jour déterminé. Il établit son règlement intérieur et peut former en son sein des commissions. La majorité absolue de ses membres est nécessaire pour que ses délibérations, entendues ici au sens de décisions prises par l’assemblée, soient valables.
Les attributions des conseillers départementaux impliquent leur information sur toutes les « affaires du département qui font l’objet d’une délibération ». Ils reçoivent donc, douze jours au moins avant les sessions, un rapport sur chaque question qui leur sera soumise.
Les séances sont ouvertes au public, sauf en cas de huis clos décidé par le conseil ou en cas d’agitation, le président pouvant exercer son pouvoir de « police des séances » et restreindre l’accès du public aux débats.
– Le président du conseil départemental est l’organe exécutif du département. Il est assisté d’une commission permanente au sein de laquelle sont élus les vice-présidents.
En tant qu’organe exécutif, le président du conseil départemental prépare et exécute les délibérations du conseil. Il est l’ordonnateur des dépenses du département et prescrit l’exécution des recettes. Chaque année, il rend compte au conseil de la situation du département.
Le président du conseil départemental est le chef des services du département. Il peut cependant disposer, en cas de besoin, des services déconcentrés de l’État.
Le président gère le domaine du département. Il dispose ainsi de pouvoirs de police particuliers, notamment en matière de circulation.
Le président peut déléguer, comme le maire à ses adjoints, l’exercice d’une partie de ses fonctions aux vice-présidents. Ensemble, ils constituent le bureau. Ces délégations peuvent être annulées à tout moment."

voilà, déjà avec ces deux parties de conseils de proximité, on a de quoi comparer les compétences et de se dire "qu'est-ce qui est une compétence en double ? "
Qui doit se charger du pouvoir de "police" par exemple ? les communes sont à l'intérieur d'un département et le département à l'intérieur d'une région et la région à l'intérieur d'un état et on a par là aussi la "police nationale". 
Comment mieux gérer tout ça ? le pouvoir de "police" dans le département est-ce juste une partie de la police nationale ? et dans ce cas la police municipale en plus ? la gendarmerie de l'armée ? 

Oui, la vie administrative en France est assez complexe et pas simple du tout, je vous laisse réfléchir de votre côté.

vendredi 3 octobre 2014

Faut-il élargir la redevance télé aux smartphones ?

voilà ce que je lis aujourd'hui sur ce lien, l'élargissement de la redevance aux smartphones serait prévue.


http://www.lefigaro.fr/medias/2014/10/02/20004-20141002ARTFIG00376-hollande-souhaite-elargir-la-redevance-au-dela-de-la-tele.php

Et l'outil gratuit qu'utilisent les collectivités locales pour retransmettre leur e-télé ? leur conseil municipal etc ?

L'état demande aussi le numérique, et l'accès gratuit aux sites de l'état doit être possible, le taxer un peu plus ?

L'outil de travail de bien des hommes politiques pour leur communication, ce serait l'arroseur arrosé.

La communication est importante en politique, la taxer en plus, ajouter la redevance télé en plus au lieu de la supprimer, c'est une erreur.

Je trouve déjà honteux qu'on fasse payer cette taxe aux pauvres au RSA, quand ils ont une télé, mais qu'ils ne touchent même pas le seuil de pauvreté par mois.

Souvenez-vous pourquoi on a supprimé la taxe sur les magnétoscopes autrefois...

Pas d'avenir pour la télé si on taxe même les smartphones et les pauvres, qui devront s'en passer dans ce cas et on les exclut un peu plus !

Un peu d'histoire sur ce site et pourquoi on a supprimé la taxe sur les magnétoscopes... ce qui pourrait donner la même choses si on crée la taxe sur les smartphones.

http://www.culturecommunication.gouv.fr/Disciplines-secteurs/Audiovisuel/Sous-Dossiers-thematiques/La-contribution-a-l-audiovisuel-public-anciennement-redevance-audiovisuelle/L-histoire-de-la-contribution-a-l-audiovisuel-public-alors-denommee-redevance-audiovisuelle-avant-2005

"La redevance audiovisuelle concernant les postes récepteurs de radiodiffusion a été supprimée par le décret n° 80-201 du 10 mars 1980.
Par la suite, le décret n° 82-971 du 17 novembre 1982 a étendu la redevance audiovisuelle pour droit d’usage aux magnétoscopes, à compter du 1er janvier 1983. Controversée à l’époque, cette extension de l’assiette de la redevance audiovisuelle visait d’abord à protéger l’industrie nationale, la plupart des magnétoscopes étant importés.
L’article 53 de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et l’article 2 du décret n° 86-1365 du 31 décembre 1986 ont supprimé la taxe sur les magnétoscopes, à compter du 1er janvier 1987."

Que veut dire "Identité" ?

Dans le cadre de restructuration on parle parfois "d'identité", que les gens sont attachés à leur identité départementale ou régionale voire communale avant la nationale...

bon, voyons pour moi, immigrée naturalisée française... et européenne, citoyenne du monde et chrétienne, donc "universelle", comment puis-je me définir, "identifier" ? quelle est mon identité ?

Dans mon profil j'ai dit "je suis moi avec ce que les épreuves de la vie ont fait de moi".

Je crois que c'est une première piste pour "m'identifier", me définir.

Une identité est une définition de quelqu'un ou de quelque chose au fond, non ?

Quand je suis née, mes parents m'ont donné un prénom pour commencer. "identité, Sylvia"

Ensuite j'ai porté le nom de ma mère, donc identité familiale de ma mère célibataire... puis quand mes parents pouvaient se marier, j'ai changé de nom et porté le nom de mon père. J'ai changé d'identité sur le papier, "carte d'identité", état civil.

Une identité, c'est aussi un état civil.

Quand je me suis mariée de mon côté, j'ai encore changé de nom, Madame, épouse de ....

Mon identité n'était plus "Mademoiselle", mais "Madame untel"

A mon divorce j'ai encore changé d'identité, d'état civil, je suis redevenu "mademoiselle untel", nom de jeune fille. Et je devais à chaque fois prouver mon identité en tant que Maman, vu que mes enfants ne portent pas le même nom.

J'ai changé de nationalité aussi suite au mariage, donc "identité allemande" a changé en "identité française".

J'habite en Normandie, "identité: Normande"

J'habite à Louviers, "identité Lovérienne", j'habitais dans un village auparavant, donc j'étais "rurale", "villageoise", maintenant "citadine"

Mais que veulent dire ces "identités" qu'on change aussi facilement sur le papier ?

quelle est mon identité profonde ?


C'est également les questions qu'il faudrait se poser quand on veut  modifier le paysage politique et administratif d'un pays, car cela modifie l'identité des citoyens quelque part  (et parfois leur vie, le regard des autres aussi)

Sont-ils d'abord citoyens du pays ? Sont-ils d'abord citoyens d'une commune ? d'un département ? d'une région ? ou d'une communauté ethnique ou religieuse ? eux-mêmes ?

Sont-ils identifiés selon leur statut social ? leur profession ? leur numéro de Sécurité Sociale ? etc.

Je me pose bien des questions à ce sujet et vous ? quelle est votre réponse personnelle ?

La vie est évolution, l'identité change sur le papier, parfois plusieurs fois même sur un état civil

La restructuration d'un pays c'est un peu la même chose, non ?

C'est juste qu'il faut pouvoir "suivre" et s'adapter tout le temps et parfois on perd un peu de sa souplesse et capacité d'adaptation aux changements à répétition, car des réformes, il y en a eu pas mal ces dernières années, notamment aussi pour les familles, identité familiale (mariage pour tous etc).

Il y a des sites qui proposent des définitions concernant le mot "identité" (appartenance à une famille ? un groupe ? un peuple ? etc)



en voilà :

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/identit%C3%A9/41420

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/identite/

http://www.toupie.org/Dictionnaire/Identite.htm



http://www.cnrtl.fr/definition/identit%C3%A9


http://www.toupie.org/Dictionnaire/Identite_nationale.htm

"L'identité nationale est le sentiment qu'éprouve une personne à faire partie d'une nation. Ce sentiment est propre à chaque personne. Cependant pour la sociologie, il est une intériorisation de repères identitaires, résultant de la visibilité permanente des "points communs" de la nation, qui peuvent prendre la forme de symboles. Cette visibilité est, en général, organisée volontairement par l'Etat afin d'en imprégner les individus dès leur enfance. "