donc difficile d'avancer dans son parcours d'insertion et de combattant.
Tout est au ralenti, des retards parfois.
Mon rendez-vous à Pôle Emploi s'est conclu avec le constat qu'il faut continuer l'appui social avant de penser au suivi professionnel, vu ma situation compliquée, logement à trouver et problèmes de santé et MDPH à voir...
donc voilà, case départ ? ou boucle bouclée ? nouveau cycle ?
On m'a rappelé en même temps que j'ai encore plus de 15 ans de carrière à faire avant de penser à demander la retraite ...
quand je pense que j'en connais qui ont pu prendre leur retraite à 50 ans à une époque... et moi j'en ai 52 et je dois envisager de travailler jusqu'à 67 et cela malgré mes soucis de santé.
Congés... oui j'y pense, mais bon, on imagine qu'on est en congé dès lors qu'on n'a pas d'emploi, alors que ce n'est pas le cas. Je fais mes démarches du mieux possible et c'est fatigant et bien souvent on ne donne pas d'arrêt de travail au chômeurs pour éviter de la paperasse en plus. Et pourquoi arrêter un chômeur ? il n'a pas d'emploi... voilà l'autre logique.
Je me soigne comme je peux, je me repose entre deux si j'y arrive et j'essaie de progresser dans mes démarches. Vive les congés que je n'ai pas, mais tant mieux pour les autres et pendant ce temps ça m'en fera un peu aussi, si les rendez-vous sont pour la rentrée... début mars.
Pour le résultats des radios on verra ça quand le médecin sera de retour des ses congés, en attendant j'ai mes anti-douleurs habituels et du repos entre deux.
Il me faut un emploi sans trop de stations debout et à proximité, vue que mes problèmes d'arthrose ne s'arrangent pas si facilement et que je ne peux pas prévoir des déplacements trop loin au quotidien sans véhicule personnel et malgré les lignes de bus, qui malheureusement ne vont pas partout, même si cela s'est amélioré au fil des années.
A suivre... après les congés des uns et des autres
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